La Turquie a donc mis à exécution ses menaces antérieures en abattant aujourd’hui un avion russe qui frôlait sa frontière, causant sans doute la mort d’un ou des deux pilotes. Poussant la provocation jusqu’au bout et feignant d’être la victime son président a demandé une réunion de l’OTAN.
C’est à juste titre que le Président russe Vladimir Poutine a dénoncé ce » coup de poignard dans le dos ».
Sachant le jeu hypocrite que la Turquie joue tant contre les Kurdes qui luttent contre l’Etat islamique génocidaire, que, en sous main, en faveur de cette organisation criminelle qui vient assassiner en France, DLF sera très attentif à ce que l‘OTAN ne vienne pas pour des raisons de rivalité américaine, fissurer une coalition difficile à mettre en place, mais dont l’Europe a un besoin vital pour sa sécurité.
Henry Temple
Délégué national à l’Indépendance de la France