Il ne vous aura pas échappé que depuis quelques semaines, de nombreux articles de presse font état de nos conditions de vie et notamment de la sous occupation de nos logements.
On y apprend même que l’Insee, institut maléfique utilisé à mauvais escient s’il en est, a recensé que 41 % des maison et 4% des appartements seraient sous occupés.
Entendez par là, qu’il y aurait dorénavant une sorte de norme concernant notre volume d’espace à vivre. Cette manœuvre n’a pour d’autre but que de vérifier nos réactions et notre capacité à accepter une nouvelle taxe.
Certainement sous prétexte écologique encore une fois, l’état va nous expliquer qu’il n’est pas bon pour la planète d’avoir des logements trop grands, puisqu’ils auraient un fort impact sur la consommation de notre précieuse énergie.
Une idée de génie, car ceci ne concernant seulement que 25% de la population, il n’y aura pas de contestation majeure à la mise en place d’une nouvelle écotaxe. Il reste simplement à définir sa base de calcul, soit le m2, soit le nombre de pièces.
Tout le monde est concerné. Les personnes ambitieuses et aisées qui ont les moyens de vivre dans un environnement confortable, mais aussi et surtout chaque famille, puisqu’une fois que nos enfants alors arrivés à majorité auront quitté le foyer familial, leurs chambres se retrouveront libres et nous n’aurons que deux options, soit changer de logement, soit payer une nouvelle taxe sur l’excédent au cota alors défini.
Ou peut-être encore et dans le pire des cas, accepter de mettre à disposition les parties devenues superflues à quelques défavorisés, comme cela s’est pratiqué dans certains pays de l’Est à l’apogée du communisme.
A Debout la France, nous nous battons au quotidien pour faire cesser le pillage dont sont victimes les familles Françaises. Les impôts et les taxes en tout genre ont atteint un niveau qui n’est plus acceptable.
Nous disons fermement au gouvernement : plus un seul euro ne doit être saisi aux Français.
Nous refuserons ce nouvel impôt, ainsi tous ceux qui pourront être imaginés et exigés à nos compatriotes jusqu’à la fin de ce quinquennat, mais également des suivants.
Nicolas Dupont Aignan dénonce depuis de nombreuses années les dépenses faramineuses de l’état et propose des alternatives à l’impôt pour redresser les comptes publics.