Chaque 3 décembre, la journée internationale des personnes handicapées rappelle la nécessité d’une société réellement inclusive.
En 2025, c’est le même constat : enfants comme adultes rencontrent des obstacles majeurs dans leur vie quotidienne.
L’accessibilité dans les lieux publics reste trop souvent incomplète, qu’il s’agisse de bâtiments administratifs, de commerces, de salles de sport ou même de structures médicales.
Les transports censés être pleinement accessibles depuis des années, présentent encore de fortes disparités selon les régions, les lignes ou les types de handicap.
A l’école les enfants se heurtent toujours au manque d’accompagnants d’élèves en situation de handicap. Malgré les discours, les promesses, beaucoup trop d’élèves handicapés ne sont toujours pas accompagnés.
Dans le monde du travail les personnes en situation de handicap affrontent un double défi : le manque d’aménagements adaptés et les préjugés persistants lors du recrutement.
Le secteur du sport et des loisirs, pourtant essentiel pour la santé physique et mentale, reste également marqué par un manque de structures accessibles, de matériel adapté ou de personnel formé.
Depuis la déconjugalisation de l’allocation adulte handicapé, en 2022, obtenue grâce à l’opposition, E. MACRON n’a rien fait pour améliorer la vie des personnes handicapées. Résultat : le pouvoir d’achat est plus faible qu’avant son arrivée au pouvoir, un recul inacceptable après huit ans de promesses non tenues.
Dans ce contexte, certains responsables politiques ont régulièrement porté des propositions pour améliorer la situation.
- Nicolas DUPONT-AIGNAN président de Debout la France et candidat déclaré à l’élection Présidentielle de 2027, fait partie de ceux qui mettent en avant la question du handicap depuis de nombreuses années.
Lorsqu’il était maire de Yerres, il a mené plusieurs actions locales visant à améliorer l’accessibilité et le quotidien des habitants concernés.
Il rappelle régulièrement que la dignité des personnes handicapées doit être une priorité nationale.
Mais surtout il répond point par point aux droits et besoins évoqués, dans son programme présidentiel. Ses propositions qu’il présente comme claires et simples, portent notamment sur l’accélération de l’accessibilité, l’amélioration de l’accompagnement à l’école et le renforcement de l’insertion professionnelle. Ainsi que l’amélioration du pouvoir d’achat de nombreuses personnes vivant bien en dessous du seuil de pauvreté. Sans oublier l’entourage et les aidants.
Ces mesures ne sont pas seulement techniques : elles représentent un enjeu fondamental de respect, d’autonomie et d’égalité.
En cette journée du 3 décembre 2025, l’enjeu reste donc intact : transformer les bonnes intentions en réalités tangibles, partout, pour tous.
Cette journée mondiale met surtout en lumière la nécessité de mieux reconnaitre les droits, les besoins quotidiens et les compétences des personnes en situation de handicap.
Elle nous encourage également de renforcer nos actions pour construire une société réellement inclusive et accessible à chacun
