DLR commémore l’Appel du 18 juin

Mardi nous célébrerons le 73e anniversaire de l'appel du 18 juin. Pour nous, gaullistes de toutes générations, cette date symbolise le combat pour la France. Ce jour-là, alors que les ténèbres étendaient leur empire sur notre patrie, le Général de Gaulle a dit aux Français de ne pas perdre espoir et combattre.

Depuis sa fondation, Debout la République (DLR) s'inscrit dans l'héritage de Charles de Gaulle, à l'image de partis comme l'UNR, l'UDR ou le RPR en leurs temps. Nicolas Dupont-Aignan, président de DLR, participera à cet hommage national dans sa ville d'Yerres. Vous pouvez retrouver son hommage ci-dessous.

Comme chaque année, toutes les fédérations DLR commémoreront aussi ce jour historique de l'Histoire de France. Des délégations DLR de chaque département participeront aux cérémonies locales en souvenir de l'Appel du 18 juin. Pour savoir où et à quelle heure votre fédération départementale de DLR participera à la cérémonie d'hommage, vous pouvez contacter le secrétaire départemental de votre départment dans la rubrique Près de chez vous.

 

Hommage de Nicolas Dupont-Aignan pour l'Appel du 18 juin

Nous célébrerons mardi prochain le 73ème anniversaire de l’Appel du 18 juin.

Nous le savons mieux que quiconque, cet appel signe, par sa puissance visionnaire, l’un des temps forts du XXème siècle et résonne pour tous nos compatriotes comme l’acte de naissance d’une France nouvelle et moderne, dans la fidélité intacte à son être national, idéal d’humanisme et de liberté.

Cri d’espoir au beau milieu de la nuit de la défaite et de l’occupation étrangère, commandement impérieux d’entrer en résistance pour sauver l’honneur de la Nation compromis par des élites oublieuses de leur devoir, vision clairvoyante du plus grand cataclysme de l’histoire de l’Humanité, profession de foi humaniste contre la barbarie de l’ennemi totalitaire, exhortation ardente au rassemblement de tous les Français de bonne volonté contre « les fausses fatalités de l’histoire », l’Appel du 18 juin 1940 fut tout cela à la fois.

Parce que, comme il aimait à le dire, « la fin de l’espoir est le commencement de la mort », Charles de Gaulle a commencé un sillon sur le champ de l’espérance française. Par son appel entendu par une infime minorité de Français, il a fait ressurgir la flamme de l’espoir, celui par lequel notre pays a toujours soulevé des montagnes. En 1940 cet espoir pouvait sembler illusoire pour n’importe quel quidam froid et rationnel. Mais l’homme du 18 juin faisait appel au cœur des patriotes, à leur caractère et leur honneur vertus intrinsèques aux femmes et hommes de combat. Il savait que les difficultés et les malheurs attirent ceux qui sont prêts au sacrifice de leur vie pour leur pays.

Peu importe les forces contraires, peu importe la lâcheté de beaucoup, peu importe les anathèmes, les gaullistes, aujourd’hui comme hier, savent qu’une « certaine idée de la France » coule dans le sang de chaque Français. Malgré la chape de plomb rien ne put la faire s’évanouir ; malgré la pensée unique dominante rien ne pourra la faire disparaitre.

De Gaulle disait que « face aux grands périls, le salut n'est que dans la grandeur. » Aujourd’hui comme en d’autres temps la France est face au péril de sa disparition comme nation libre et indépendante. Aujourd’hui comme en d’autres temps elle n’a pas d’autre chemin que la grandeur pour survivre.

Le 18 juin 2013, nous, les gaullistes de DLR, célébrerons cette volonté de grandeur et ce culte de l’espoir.

Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République